Suite au tremblement de terre du 11 mars et à ses répercussions sur l'activité économique, l'industrie du manga ne peut pas assurer la livraisons de ses magazines.
La publication de nombreux magazines de mangas, extrêmement populaires au Japon, adû être retardée en raison des multiples répercussions du séisme du 11 mars, notamment la pénurie de papier, ont averti les éditeurs.
Le numéro de l'hebdomadaire Shonen Jump, créé en 1968 et tiré à près de 3 millions d'exemplaires, qui devait sortir le 28 mars ne sera mis en vente que le 4 avril, a averti la maison d'édition Shueisha. Elle a mis en cause les difficultés d'approvisionnement en papier et la rupture des circuits de transport.
Outre Shonen Jump, réputé pour ses séries vedettesNaruto et One Piece, quelque 190 publications ont vu leur diffusion reportée ou annulée, selon l'Association japonaise des éditeurs de magazines. Des maisons d'édition se confondent aussi en excuses sur leur site internet pour
les retards de parution de livres. Ces difficultés sont mal vécues par les Japonais, pour qui la ponctualité est une obsession.
Les imprimeurs ont du mal à obtenir du papier en raison de l'arrêt d'importantes usines situées dans les préfectures d'Aomori (nord) et de Miyagi (nord-est), la plus touchée par le séisme et le tsunami du 11 mars.
Le numéro de l'hebdomadaire Shonen Jump, créé en 1968 et tiré à près de 3 millions d'exemplaires, qui devait sortir le 28 mars ne sera mis en vente que le 4 avril, a averti la maison d'édition Shueisha. Elle a mis en cause les difficultés d'approvisionnement en papier et la rupture des circuits de transport.
Outre Shonen Jump, réputé pour ses séries vedettesNaruto et One Piece, quelque 190 publications ont vu leur diffusion reportée ou annulée, selon l'Association japonaise des éditeurs de magazines. Des maisons d'édition se confondent aussi en excuses sur leur site internet pour
les retards de parution de livres. Ces difficultés sont mal vécues par les Japonais, pour qui la ponctualité est une obsession.
Les imprimeurs ont du mal à obtenir du papier en raison de l'arrêt d'importantes usines situées dans les préfectures d'Aomori (nord) et de Miyagi (nord-est), la plus touchée par le séisme et le tsunami du 11 mars.
Les infrastructures des transports sont également fortement endommagées dans le nord et l'est, empêchant les habituels ballets de camions sur les routes traversant l'archipel. Ces difficultés sont aggravées par les rationnements d'essence. Les perturbations sur le réseau électrique entraînent aussi une réduction d'activité dans de nombreuses entreprises.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire